Conversion checkout : comment optimiser le dernier clic pour maximiser les ventes

Dans le monde du e-commerce, le checkout est la dernière ligne droite. C’est le moment où le client prend sa décision finale : valider son achat ou abandonner son panier. Selon le Baymard Institute, 70 % des clients abandonnent leur panier avant de finaliser leur achat. Ce chiffre est énorme, et montre bien que même si un client arrive jusqu’à la page de paiement, rien n'est joué tant qu'il n’a pas cliqué sur le bouton de validation.

Optimiser le processus de checkout est donc essentiel pour réduire les abandons de panier et maximiser les conversions. Le moindre obstacle à ce stade critique peut entraîner la perte d'une vente. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur comment maximiser vos ventes en optimisant le dernier clic, en analysant les meilleures pratiques pour réduire les frictions et offrir une expérience utilisateur fluide et agréable.

Pourquoi le checkout est-il si décisif ?

Le checkout est l'étape la plus critique du parcours client, car c'est le moment où l’utilisateur décide de confirmer ou d'annuler son achat. Tous les efforts investis dans la génération de trafic, la création de fiches produits optimisées et la persuasion en amont peuvent être réduits à néant si cette étape finale n’est pas parfaitement optimisée.

Voici quelques raisons pour lesquelles le checkout joue un rôle déterminant dans la conversion e-commerce :

  • Frictions minimales : Un processus de checkout trop long ou complexe peut provoquer de l’irritation chez les clients, les incitant à abandonner leur panier.
  • Confiance et sécurité : Si la sécurité du paiement ou la clarté des informations manque, les clients hésiteront à finaliser leur achat.
  • Décision d’achat : Le checkout est l’endroit où les clients effectuent leur choix définitif. Toute distraction ou complication à ce stade peut influencer cette décision de manière négative.

Analyse des freins au checkout : pourquoi les clients abandonnent-ils ?

Pour optimiser le dernier clic, il est essentiel de comprendre les raisons principales pour lesquelles les clients abandonnent leur panier à cette étape cruciale. Voici quelques-unes des raisons les plus courantes d’abandon de panier au checkout :

1. Frais inattendus

Toujours selon le Baymard Institute, l'une des principales raisons d'abandon de panier est la découverte de frais inattendus (comme des frais de livraison ou des taxes) lors du checkout. Environ 21**% des clients** quittent leur panier en raison de ces frais non anticipés et du manque de clarté.

Comment éviter cela ?

  • Transparence des frais dès le début : Affichez les frais de livraison, taxes et autres coûts supplémentaires dès la page produit ou le panier, pour éviter toute surprise au moment du paiement.
  • Proposer la livraison gratuite : Si possible, offrez une livraison gratuite sous certaines conditions (par exemple, à partir d'un montant d’achat minimum). C’est un puissant levier pour encourager les clients à finaliser leur commande.

2. Un processus de paiement trop long

Le nombre d’étapes dans le processus de checkout a un impact direct sur le taux d’abandon. Un processus trop long ou comportant trop de champs à remplir peut fatiguer le client, le poussant à quitter le site sans acheter.

Comment améliorer cela ?

  • Réduire le nombre d'étapes : Adoptez un checkout en une seule page, où toutes les informations nécessaires (adresse, livraison, paiement) peuvent être remplies sans avoir à passer par plusieurs écrans. Cette simplification accélère le processus et diminue le risque d'abandon.
  • Fonctionnalité de paiement en 1-clic : Pour les clients fidèles, permettre un paiement rapide en 1-clic est un excellent moyen de réduire les frictions. En utilisant les informations de paiement et d’adresse déjà enregistrées, vous réduisez le nombre de clics nécessaires à l'achat.

3. Manque d’options de paiement

Les clients veulent avoir le choix lorsqu’il s’agit de payer. Si vous limitez vos options de paiement à une ou deux méthodes, vous risquez de perdre des clients. Baymard Institute affirme que 13% des abandons de paniers sont dûs à un manque de diversité dans les choix de paiement.

Que faire ?

  • Offrir des options de paiement multiples : Proposez diverses solutions, y compris les cartes de crédit, les portefeuilles numériques (comme JUST, Apple Pay, ou Google Pay), et le paiement en plusieurs fois pour les achats de grande valeur.
  • Adapter les options aux préférences locales : Si vous vendez à l’international, tenez compte des solutions locales de paiement. Par exemple, en Europe, le virement bancaire est encore très utilisé dans certains pays comme l'Allemagne.

4. Problèmes de sécurité perçue

La sécurité des paiements est une préoccupation majeure pour les consommateurs. Un checkout qui ne semble pas sécurisé peut semer le doute et pousser un client à abandonner son achat. Un manque d’informations sur la sécurité du site ou l’absence de badges de certification peut être un frein.

Solution :

  • Renforcer la sécurité visible : Affichez des badges de sécurité comme SSL, PCI DSS, ou des icônes de paiement sécurisé près du bouton de validation. Ces signes visuels rassurent les clients et leur montrent que leur paiement est protégé.
  • Utiliser des passerelles de paiement reconnues : Travailler avec des solutions bien établies et reconnues comme Stripe ou Mollie renforce la confiance des clients dans votre plateforme.

Les meilleures pratiques pour optimiser le dernier clic et le checkout

Maintenant que nous avons identifié les freins au checkout, voici quelques stratégies clés pour optimiser cette étape et maximiser vos conversions.

1. Raccourcir le processus de checkout

Un processus de checkout trop long ou compliqué est l'une des principales causes d'abandon de panier. Voici quelques idées pour le raccourcir et le rendre plus efficace :

  • One-page checkout : Regroupez toutes les informations essentielles (adresse de livraison, choix de la méthode de paiement, récapitulatif de commande) sur une seule page. Un checkout à plusieurs pages crée des frictions inutiles.
  • Auto-complétion : Pour les clients fidèles, utilisez l’auto-complétion pour remplir automatiquement les champs comme l'adresse de livraison ou les informations de paiement.

2. Proposer des options de paiement adaptées

Les clients souhaitent finaliser leur achat en utilisant leur méthode de paiement préférée. En proposant une large gamme d'options, vous réduisez le risque d’abandon :

  • Cartes bancaires classiques : Visa, Mastercard, American Express.
  • Portefeuilles numériques : PayPal, Apple Pay, Google Pay.
  • Paiement en plusieurs fois : Pour les achats importants, proposer une solution de paiement fractionné comme Klarna ou PayPal Pay in 4 peut augmenter le panier moyen et inciter les clients à finaliser leur commande.

3. Clarifier les coûts dès le début

Un autre frein majeur au checkout est la découverte de frais inattendus. Les clients veulent savoir à l’avance combien ils vont payer au total, et un ajout soudain de frais de livraison ou de taxes peut les inciter à quitter le site.

  • Affichez tous les coûts dès la page panier : Les frais de livraison, les taxes, et tout autre frais supplémentaire doivent être visibles avant même que le client n’entre dans le checkout.
  • Livraison gratuite : Si possible, offrez la livraison gratuite pour les commandes dépassant un certain montant. Cette stratégie encourage les clients à augmenter leur panier pour profiter de cet avantage.

4. Optimiser l’expérience mobile

Avec l’augmentation des achats sur mobile, il est crucial que votre checkout soit optimisé pour les utilisateurs mobiles. Selon Think with Google, 53 % des utilisateurs mobiles quittent un site si la page met plus de trois secondes à charger.

  • Responsive design : Assurez-vous que votre page de checkout est entièrement responsive et adaptée aux appareils mobiles. Les boutons doivent être suffisamment grands pour être facilement cliquables, et les champs du formulaire doivent être optimisés pour un remplissage rapide.
  • Vitesse de chargement : Optimisez la vitesse de votre site, en particulier sur la page de checkout. Une expérience trop lente entraîne de la frustration et peut pousser les clients à abandonner leur achat.

5. Renforcer la sécurité visible

Le sentiment de sécurité est primordial pour inciter les clients à finaliser leur achat. Des informations claires sur la sécurité des paiements renforcent la confiance.

  • Badges de sécurité : Intégrez des badges de sécurité bien visibles (SSL, PCI DSS) à proximité du bouton de validation de commande. Cela montre que votre site est conforme aux standards de sécurité.
  • Passerelles de paiement reconnues : Utiliser des solutions de paiement bien connues et sécurisées permet de rassurer les clients et de les encourager à finaliser leur commande.

L'impact d'un checkout optimisé : des résultats mesurables

L'optimisation du checkout peut avoir un impact direct et mesurable sur vos taux de conversion et sur la réduction des abandons de panier. Des entreprises qui ont mis en place des stratégies d’optimisation du checkout ont constaté des améliorations significatives dans leurs résultats.

1. Augmentation des conversions

En réduisant les frictions au moment du paiement, vous facilitez la prise de décision pour vos clients. Moins de complications, moins de clics inutiles, et des informations claires augmentent les chances que le client finalise son achat.

2. Réduction des abandons de panier

Comme mentionné plus tôt, environ 70 % des paniers sont abandonnés avant la validation finale. Cependant, en optimisant le checkout (par exemple en affichant les frais dès le début, en proposant des options de paiement adaptées, et en réduisant les étapes), vous pouvez réduire considérablement ce taux.

3. Amélioration de la fidélisation

Un checkout fluide et agréable ne se contente pas d'augmenter les conversions, il encourage aussi la fidélité des clients. Les clients apprécient une expérience d’achat simple et rapide, ce qui les incite à revenir. La répétition d'une bonne expérience de checkout peut jouer un rôle crucial dans la fidélisation à long terme.

Exemple concret :

Selon PwC, 73 % des clients affirment que l’expérience client est un facteur déterminant dans leur fidélité à une marque. Un checkout optimisé peut donc non seulement augmenter les conversions immédiates, mais aussi contribuer à la fidélisation de votre clientèle.

Les erreurs à éviter lors de l’optimisation du checkout

Même si l'optimisation du checkout peut être bénéfique, certaines erreurs courantes peuvent limiter l'impact de vos efforts. Voici les erreurs à éviter :

1. Trop de champs à remplir

Même si vous souhaitez collecter des informations sur vos clients, un formulaire de checkout trop long peut les décourager. Demandez uniquement les informations essentielles pour finaliser l'achat. Vous pourrez collecter des données supplémentaires après l'achat, si nécessaire.

2. Négliger l’expérience mobile

Une grande partie des achats en ligne se fait aujourd'hui via des appareils mobiles. Si votre checkout n'est pas bien optimisé pour le mobile, vous risquez de perdre des clients. Assurez-vous que la navigation, les boutons, et le remplissage des formulaires sont adaptés aux petits écrans.

3. Ne pas afficher les coûts totaux avant le checkout

Si les frais supplémentaires (comme les taxes ou la livraison) ne sont pas affichés avant la dernière étape, cela crée de la frustration chez les clients. Soyez transparent dès le départ pour éviter les surprises désagréables.

4. Ignorer les tests A/B

Chaque e-commerce est unique, et ce qui fonctionne pour une boutique ne fonctionnera pas nécessairement pour une autre. Ne vous fiez pas uniquement aux meilleures pratiques génériques. Testez différentes versions de votre checkout à l’aide de tests A/B pour découvrir ce qui convertit le mieux votre audience spécifique.

A/B testing pour le checkout : l’importance des tests continus

L’optimisation du checkout est un processus continu. Le comportement des utilisateurs évolue, et ce qui fonctionne aujourd’hui peut ne plus être aussi efficace demain. Les tests A/B sont un excellent moyen de tester différentes versions de votre processus de checkout et d’améliorer continuellement vos conversions.

Voici quelques éléments à tester en priorité :

  • La couleur et le texte du bouton CTA : Testez différentes formulations (« Valider ma commande », « Acheter maintenant », « Finaliser mon achat ») ainsi que différentes couleurs pour voir lesquelles incitent le plus à l’action.
  • Le nombre d'étapes : Comparez un checkout en une seule page avec un processus en plusieurs étapes pour voir lequel est le plus efficace pour votre audience.
  • Les options de paiement : Testez l’ajout de nouvelles méthodes de paiement (portefeuilles numériques, paiement en plusieurs fois) et mesurez l'impact sur le taux de conversion.

L’avenir du checkout : quelles tendances à surveiller ?

Alors que le e-commerce continue de se développer, les attentes des consommateurs en matière de checkout évoluent également. Voici quelques tendances à surveiller dans les années à venir pour rester compétitif :

1. Le paiement en 1-clic

Popularisé par Amazon, le paiement en 1-clic devient de plus en plus accessible pour les e-commerçants grâce à des solutions comme JUST, Stripe ou Mollie. Cette option permet aux clients fidèles de valider leur achat sans avoir à ressaisir leurs informations de paiement ou de livraison.

2. Les portefeuilles numériques

L'usage des portefeuilles numériques comme Apple Pay et Google Pay ne cesse de croître, en particulier sur mobile. Ces options permettent un paiement rapide et sécurisé, sans que le client ait besoin de saisir ses informations de carte de crédit.

3. La biométrie

La biométrie (comme la reconnaissance faciale ou l'empreinte digitale) est de plus en plus utilisée pour authentifier les paiements en ligne. Cette technologie offre un haut niveau de sécurité tout en simplifiant le processus de paiement pour les clients.

4. L’intelligence artificielle pour personnaliser le checkout

L'intelligence artificielle pourrait jouer un rôle majeur dans l’optimisation du checkout en personnalisant l’expérience d'achat en fonction des habitudes et préférences des clients. Par exemple, l'IA pourrait suggérer des méthodes de paiement ou des options de livraison en fonction des achats précédents.

Optimiser le checkout pour maximiser les ventes

Le checkout est la dernière étape avant la conversion, mais aussi l'une des plus critiques. Un checkout optimisé permet de réduire les abandons de panier, d'augmenter les conversions et de fidéliser vos clients. En simplifiant le processus, en offrant des options de paiement adaptées, et en renforçant la sécurité perçue, vous créez une expérience d'achat agréable et rassurante.

L'optimisation du checkout n'est pas un travail ponctuel, mais un processus continu qui nécessite des ajustements réguliers basés sur des tests et l’analyse des comportements clients. Chaque petit détail compte, du texte du bouton de validation à la clarté des frais de livraison. En restant attentif aux besoins et attentes de vos clients, vous maximiserez vos chances de les voir finaliser leur commande.

Nov 18
7
min

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Jan 17

4 exemples de call to action pour vos mails marketing

Définition du call to action

Un call to action (littéralement “appel à passer à l’action” en français, moins sexy, on vous l’accorde) est un incontournable de l’inbound marketing (allez on vous aide : l’inbound décrit toutes les tactiques visant à faire venir le client vers vous, contrairement à l’outbound, qui vise à chercher le client).

Grosso modo, un call to action est un outil marketing qui invite un prospect, un consommateur (c’est ça qui nous intéresse !) à agir de façon immédiate. Les calls to action prennent souvent la forme d’une injonction (“découvrir plus”, “achetez maintenant”).

Les calls to actions peuvent se trouver sur site web, une landing page, sur des ads ou publications de réseaux sociaux. Dans cet article, la team JUST vous parle des CTA dans les mails marketing. Emplacement, formulation, design : on vous révèle les meilleurs conseils pour faire de bons CTA ! 

1. Où positionner un call to action  ? 🤔

Certainement pas en bas de page, près des petites lignes que personne ne lit ! La position de votre call to action est primordiale : plus il sera visible, plus vos lecteurs seront susceptibles de cliquer dessus. 

Il faut donc qu’il soit placé plutôt en début de mail (la structure phrase d’intro, CTA puis produits affichés est efficace), centré et enfin contextualisé. Images, informations dans le texte : il faut que les réceptionnaires de votre mail sachent où ils vont atterrir en cliquant dessus. 

Et si on choisit d’intégrer plusieurs call to action à son e-mail ? On hiérarchise, pardi ! On valorise celui à la meilleure offre en le plaçant au début du message, et on y va decrescendo. 

Exemple de CTA en début de mail : "Voir toutes les ventes"
CTA en début de mail chez Very Chic : "Voir toutes les ventes"

2. Comment formuler un call to action ? ✍️

N’hésitez pas à user de la première personne lorsqu’il s’agit d’écrire un CTA. Proximité et taux de conversion font en général bon ménage…  On choisit donc plutôt une formulation type “Je commande” au lieu de “commander”. 

Les verbes d’action rendent le bénéfice plus clair pour le consommateur. Ça, combiné à de l’impératif : c’est dans la poche pour la rédaction !

CTA dans un mail Uber Eats
CTA dans un mail Uber Eats

3. Quel design choisir pour un call to action ? 🎨

On vous en parlait dans notre article dédié aux newsletters marketing mais on vous révèle un peu plus sur l’allure du CTA idéal. 

Primo, il vaut mieux l’insérer dans un bouton et non pas en tant que simple lien hypertexte. Pourquoi ? Pour le rendre plus visible, tout simplement !

Deuzio : plus c’est gros, plus ça passe. On fait en sorte de choisir la police la plus lisible de sa charte graphique et on choisit une taille suffisamment grosse. 

Pour finir, parlons peu, parlons couleurs : il faut que votre bouton CTA contraste au maximum avec le reste de votre mail. Dans l’imaginaire collectif, il y a aussi des couleurs qui évoquent plus certaines choses que d’autres : le rouge, un sentiment d’urgence (idéal pour des promotions limitées dans le temps), le noir est souvent associé au luxe (tout dépend de votre positionnement) et le bleu inspire la confiance (une couleur idéale pour le B2B ou pour les services type banques, assurances…).  

CTA placé dans un bouton rouge = impression d'urgence
CTA placé dans un bouton rouge = impression d'urgence

4. Comment rendre un call to action efficace ? 🚀

Suivre nos trois premiers conseils à la lettre, c’est déjà un beau pas vers la maximisation de votre taux de conversion. Au-delà d’une bonne position, d’une formulation adéquate et d’une mise en forme percutante, avez-vous revu votre stratégie d’offres ? 

Pour inciter vos lecteurs à visiter votre site web, faites donc ami ami avec les offres alléchantes : produit offert “J’obtiens mon tote bag dès 40€”, “Je profite de la livraison offerte” promotions etc… 

Rassurez, surtout pour les achats qui demandent un certain engagement. Par exemple, dans le cas des abonnements, vous pouvez proposer un mois gratuit sans engagement.

CTA avec mois offert chez Netflix
CTA avec mois offert chez Netflix

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min
Nov 7

Black friday, cyber monday : comment préparer son site e-commerce

Tic, tac, tic tac… Black Friday et Cyber Monday arrivent à grands pas. Vous n’avez encore rien préparé ? Pas de panique : il est encore temps. 

En 2021, c’est près de $7 milliards qui ont été dépensés par les consommateurs lors de ces deux évènements ! Ça fait beaucoup... Et si vous mettiez cette année toutes les chances de votre côté pour qu’une petite portion de cette somme devienne la vôtre ? 

Qu’est-ce que Black Friday ?

Traditionnellement, Black Friday désigne le jour après Thanksgiving aux États-Unis. À moins d’un mois de Noël, le 25 novembre cette année, l'événement marketing lance aussi la période de la chasse aux cadeaux. 

Lors de Black Friday, les boutiques en ligne ET physiques proposent des réductions, en général de minuit à minuit. Aujourd’hui, il est célébré partout dans le monde (ou presque) et provoque parfois de sacrés épisodes d’hystérie collective (cf vidéo) 😅

D’abord pensé pour les boutiques physiques, Black Friday est aujourd’hui un vrai phénomène de l’achat en ligne. Si bien qu'une autre journée shopping, propre aux ventes en ligne, a été créée. Nous parlons évidemment de Cyber Monday, qui a lieu le lundi juste après Black Friday ! Parfois méconnu en France mais déjà incontournable aux États-Unis, l'événement se présente comme l’opportunité de booster vos ventes de fin d’année. 

Et comment maintenir l’afflux de visiteurs du vendredi au lundi ? La team JUST conseille de commencer fort dès le vendredi avec des réductions effet “wow”, d’y aller decrescendo tout le week-end pour revenir en force le lundi. 

Et pour le reste, on commence par quoi ? Suivez le guide !

8 Stratégies pour réussir son Black Friday 

1. Voyez les choses en grand 

Ah, la, la. Black Friday ! C’est LA journée dans l’année où toutes les folies en termes de prix sont permises. Les consommateurs s’attendent clairement à des réductions “wow” (cf la fameuse vidéo ci-dessus) donc sachez ne pas les décevoir ! Cette année, un petit discount de -15% sur une sélection de produits ultra limitée ne fera clairement pas l’affaire. 

Dans une interview accordée à Shopify Plus, le CEO de Blenders Eyewear, une marque de lunettes, avance “Black Friday, c’est le moment de l’année où vous pouvez drastiquement baisser vos prix sans pour autant entacher votre image de marque. Faites en sorte que votre offre soit la plus attractive possible”. 

Prenons l’exemple de Glossier, la marque de cosmeto aujourd’hui identifiée par près d’une américaine sur deux : à chaque Black Friday, le site solde L’INTÉGRALITÉ des ses produits à -20%. Devenu véritable rituel pour la communauté Glossier, le monumental Black Friday de la marque ne peut qu’inspirer.

2. Place aux VIP 

Si vous ne pouvez pas vous permettre de proposer des prix cassés à l’ensemble des visiteurs de votre e-commerce, on ne vous jette pas la pierre ! Priorisez plutôt vos clients réguliers : d’après une étude menée par Klaviyo, ils ne représenteraient seulement 3 à 5% de votre base mais dépenseraient 3 fois plus qu’un client lambda ! 

Une sorte de Black Friday exclusif, à destination de vos clients réguliers, peut tout à fait vous permettre de booster vos ventes comme il se doit. Notre conseil ? Jouez de l’aspect “privilège” et n’hésitez pas à mettre en exergue le fait que l’offre soit limitée dans le temps (exemple : “24h seulement !”). Essayez, vous verrez ! 

Exemple de réduction exclusive de la marque Baublecar
Exemple de réduction exclusive de la marque Baublecar

3. Ne négligez pas Cyber Monday… Et le mois de novembre en général !

Qui dit mois de novembre dit se rapprocher dangereusement du mois de décembre. Et enfin, qui dit mois de décembre dit Noël. Vous l’aurez compris : ces derniers mois de l’année sont une aubaine pour booster votre e-commerce. La team JUST vous conseille donc de ne pas potentialiser uniquement sur Black Friday mais aussi sur tout le mois de novembre et ses évènements. 

À commencer par Cyber Monday ! Et si on prolongeait les festivités ? Nous évoquions un peu plus haut un Black Friday exclusif à vos clients VIP, pourquoi donc ne pas lancer une opération type frais de livraison offerts ou alors une mécanique tant d’euros dépensés, tel article offert à l’ensemble de votre communauté ? 

Pour booster vos ventes tout le mois de novembre, vous pouvez aussi user de techniques telles que le Cross Selling et le Upselling. Késako ? 

Le premier pourrait se traduire par “vente croisée”. Il s’agit de proposer des produits complémentaires à votre client, en plus de celui qui l’a choisi. Exemple : il ajoute un petit bonnet à son panier. Pourquoi donc ne pas lui proposer l’écharpe parfaitement assortie en complément ? L’objectif n’est pas de le relooker de la tête au pied ou de lui fournir des conseils de style mais de faire gonfler son panier, pardi ! 

Le Upselling, quant à lui, consiste à proposer un produit similaire à celui que votre acheteur choisi, avec une valeur ajoutée. Toujours avec le même objectif ! Exemple : votre client veut acheter un gommage anti points noirs. Proposez lui donc le coffret ciblé anti points noirs. Plus complet et plus… cher. 

Illustration Cross-sell et upsell
Illustration Cross-sell et upsell

4. Communiquez pour événementialiser

Tout le monde connaît Black Friday. Ça n’en fait pas une raison valable pour ne pas communiquer ! En ads ou sur les réseaux sociaux, jouez le jeu à fond, pour certes, attirer du trafic lors du D-DAY, mais aussi pour en profiter pour agrandir votre base de données. 

Côté ads, la team JUST vous recommande de vous y prendre tôt, très tôt (oups, peut-être un peu tard pour cette année). En effet, à chaque automne, chacun d’entre nous est bombardé de publicités pour Black Friday. Comment donc sortir du lot ? Faites de l’A/B testing, voyez ce qui fonctionne ou non… Et retargetez. Il faut que le nom de votre marque rime avec Black Friday dans la tête de votre audience !  

Côté réseaux sociaux, on événementialise : compte à rebours en story Instagram, campagne d’influence ou encore concours spécial Black Friday. L’objectif est de montrer à votre communauté que vous allez les RÉ-GA-LER ! 

5. Assurez-vous que tout fonctionne du côté de votre site 

Augmenter vos ventes, les stabiliser ou au contraire les faire baisser : tout dépend de votre site ! Ce serait dommage d’expérimenter un crash lors d’un des plus gros événements e-commerce de l’année. 

Pour l’occasion, vous pouvez tout à fait vous servir d’outils de surveillance de performance web (Uptrends, Pingdom, UptimeRobot…) sachant que la plupart proposent des semaines gratuites en essai. 

Avec l’outil Test My Site de Google, vous pouvez même constater comment la vitesse de votre site peut augmenter votre taux de conversion mobile. Plus simplement : l’outil vous indiquera si votre site se charge suffisamment rapidement.

Interface l'Uptrends
Interface l'Uptrends

6. Soyez mobile first, toujours 

C’est 68% du trafic global qui se fait sur mobile. C’est BEAU-COUP. Votre boutique en ligne est peut-être parfaitement design et ergonomique depuis ordinateur, mais vous êtes vous assuré.e qu’elle l’était aussi sur mobile ?

En effet, lors du dernier Black Friday, ce sont 71% des transactions qui se sont faites sur mobiles. Pour rendre votre e-commerce mobile friendly à souhait, augmentez la vitesse de votre site web (on vous explique pourquoi juste au-dessus) et privilégiez un achat en 1-clic. 

En simplifiant l’étape checkout de votre site, c’est de près de 19% que vous augmentez votre taux de conversion. C’est la team JUST qui le dit ! Intéressé.e ? Rendez-vous juste ici

7. Persévérez 

Mails de relance panier, DMs sur les réseaux sociaux : montrez-vous présents auprès des visiteurs qui n’ont pas (encore) converti. 

Il existe un tas d’outils formidables pour l’automatisation de vos relances, dont certains jouant avec les codes appréciés des millenials. Prenons par exemple ShopMessage : la solution utilise Messenger de Facebook afin de relancer les prospects des marques. 

Dans vos relances, n’hésitez pas, à nouveau, à jouer sur l’effet d’urgence en privilégiant de bons CTA. 

Plus que jamais vous devez vous montrer disponible lors de Black Friday (et au mois de novembre en général) : questions, retours, échanges… Ne passez pas à côté de potentiels clients, ou pire, n’en perdez pas de déjà acquis !

8. Anticiper : la clé pour réussir son Black Friday 

Un pic de trafic et de commandes, c’est beau. Mais ça demande une certaine organisation, surtout quand on est en effectif réduit ! Cela peut paraître évident mais assurez-vous que vous avez une bonne marge de stock sur les produits que vous mettez en promotion. 

Si vous avez une adresse physique, n’hésitez pas à proposer une option “click & collect” afin de vous alléger la tâche envoi de commandes. Toujours dans la même optique, proposer une carte cadeau virtuelle peut s’avérer être un choix judicieux, surtout en prévision des fêtes de fin d’année. Bradée (exemple : une carte cadeau de 50€ vendue à 40€), elle vous permettra à nouveau d’éviter l’étape emballage et envoi. Mais aussi échange et renvoi !

L’ensemble de la team JUST vous souhaite bon courage pour ce prochain Black Friday 🍀 N’hésitez pas à nous poser des questions juste ici ! 

 

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Jan 18

Amazon Inspire : une fonctionnalité qui pourrait concurrencer TikTok

C’est qu’Amazon semblerait vouloir rivaliser avec TikTok, l’application de vidéos courte durée appartenant au géant chinois ByteDance

Le 8 décembre dernier, la plateforme e-commerce présentait un nouvel outil ressemblant étrangement à TikTok, Inspire. Ce dernier permet au client d’acheter des produits directement depuis un fil personnalisé de mini-vidéos et photos, depuis l’application Amazon. Disponible seulement pour certains clients, la fonctionnalité est encore en phase test aux États-Unis. La multinationale annonce cependant vouloir la rendre accessible pour tous dans les mois à venir. 

À quoi ressemble Amazon Inspire ?

Amazon Inspire propose des produits à ses utilisateurs, qui peuvent les enregistrer, les partager et enfin les acheter. 

La fonctionnalité serait disponible depuis l’application Amazon Shopping, en cliquant sur l’icône en forme d’ampoule. 

Comme sur TikTok, l’utilisateur est dans un premier temps invité à choisir ses centres d'intérêt et ce qu’il souhaite voir comme type de contenus : mode, maquillage, accessoires pour animaux, tech… De là, des vidéos et des photos cohérentes avec ses choix lui seront présentées, et les produits montrés dans ses derniers peuvent être achetés directement via l’application. 

Un petit aperçu d'Inspire d'Amazon
Un petit aperçu d'Inspire d'Amazon

Oliver Messenger, directeur chez Amazon Shopping, a indiqué dans un communiqué paru en décembre qu’Inspire “est la nouvelle expérience d’achat qui connecte les clients Amazon avec du contenu achetable créé par les autres utilisateurs, les influenceurs et les marques. En quelques clics, les clients peuvent découvrir de nouveaux produits ou trouver de l’inspiration pour leur shopping, selon leurs intérêts, et acheter ces articles sur Amazon”. 

Est-ce qu’Amazon a copié TikTok ?

Nombreux sont ceux qui ont puisé leur inspiration en TikTok pour se renouveler. Instagram et ses reels, Facebook ou encore Youtube et ses shorts

Amazon ferait-il de même ? Il est certain que le géant du retail s’inspire aussi de TikTok… et réciproquement. En effet, depuis maintenant des mois, l’entreprise chinoise tente de lancer sa propre fonctionnalité d’achat, sans succès… pour l’instant.   

TikTok est aujourd’hui un excellent médium pour découvrir des marques ou des produits, mais ne propose pas encore l’achat directement in app. Aujourd’hui, les créateurs promouvant Amazon sur TikTok redirigent vers le site ou l’app via un lien inséré en commentaire. Et font donc sortir les utilisateurs de TikTok ! 

Changer ce fonctionnement semble compliqué pour le réseau social, à moins d’être en partenariat direct avec Amazon… et de toucher des commissions sur chaque vente réalisée grâce à TikTok. 

Les choses sont plus avantageuses pour Amazon, qui héberge déjà la fonctionnalité d’achat en ligne la plus populaire du monde. Plus facile pour l’entreprise américaine de faire un pas vers la vidéo avec de telles bases ! Il ne manque plus que les créateurs utilisent vraiment Amazon au détriment ou en plus de TikTok . Qu’est-ce qu’Amazon proposera aux influenceurs pour les lancer sur la plateforme et transformer Inspire en véritable réseau social ? Affaire à suivre…

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Jan 17

4 astuces pour un bon mail de relance panier

Quoi de plus frustrant pour un e-commerçant que de savoir que son taux d’abandon de panier s’élève en moyenne à 70% (Baymard Institute) ? 

Les abandons panier s’expliquent par diverses raisons : un UX indigeste, un processus de check-out trop long, des frais de livraison élevés… Bref, aujourd’hui, ce n’est pas tant ces sujets de friction que nous allons évoquer mais plutôt l’après. Comment “repêcher” un client qui a abandonné son panier ? La team JUST vous donne 4 astuces pour construire un bon mail de relance panier ! 

👀 Un objet de mail catchy 

Des mails, on en reçoit tous… beaucoup. Entre les publicités, les spams, les mails perso, difficile de passer du temps à éplucher sa boite mail ! Comment donc se démarquer et faire en sorte que vos clients ouvrent votre mail ? Tout se joue dans la première chose que verront vos réceptionnaires : l’objet. 

Gardez en tête 2 points : 

- Votre mail doit attirer l’attention

- Et ne pas être trop énigmatique : allez droit au but. 

Un grand classique du marketing est le mail de relance type “Oups, avez-vous eu un problème” ? Cependant, une étude menée par Buy Fencing Direct révèle que ce type d’objet provoque un important taux d’ouverture (près de 60%) mais qu’il ne génère pas un taux de conversion optimal (moins de 10%). Le sondage montre également que les objets francs et directs tels que “Votre panier chez *nom de marque*” obtiennent un taux de conversion de près de 35% (cf illustration). 

Étude de Buy Fencing Direct sur les objets de mail de relance panier
Étude de Buy Fencing Direct sur les objets de mail de relance panier

De l’explicite, voilà ce qui attirera sans aucun doute vos clients ! Qui dit message clair ne dit cependant pas forcément message planplan. Vous pouvez aisément jouer la carte de l’originalité avec un objet type “Vos articles de chez *marque* n’attendent plus que vous” ou encore “Oups, votre panier *marque* se sent un peu délaissé”. 

En parallèle de l’objet, assurez-vous que votre marque soit bien identifiable, avec par exemple un nom d’expéditeur “brandé”. 

⏱️ Un timing stratégique pour vos mails de relance panier

Maintenant que nous avons choisi un objet de mail qui claque, quand et combien de mails envoyer ? Quelques minutes après l’abandon du panier ? Une heure plus tard, le lendemain ? Pas de panique : on vous explique tout ! 

Pour faire simple, plus vous attendez avant de relancer, moins votre mail sera performant. 

Ainsi, une étude menée par SaleCycle révèle que les mails envoyés 20 minutes après le départ de votre client engendrent en moyenne un taux de conversion de 5,2% tandis que ceux qui sont envoyés le lendemain n’obtiennent que 2,6%. 

La team JUST vous conseille donc d’envoyer le premier mail de relance dans l’heure suivant l’abandon de panier. Quant à la fréquence du message, prenez garde de ne pas vous montrer trop insistant. Trois ou quatre suffisent amplement et assurez-vous de les envoyer aux bons intervalles. Le deuxième peut donc être envoyé 24h après la première relance, le second 2 à 3 jours plus tard, le troisième la semaine suivante…

😋 Une offre alléchante pour mieux convertir 

Selon une étude menée par le Baymard Institute, 50% des acheteurs confient abandonner leur panier en raison de frais de livraison trop élevés ! Pour relancer vos clients, n’hésitez pas à mettre en avant une offre promotionnelle : une livraison offerte, un code de réduction pour les nouveaux arrivants… 

Comme nous aimons souvent le conseiller, vous pouvez tout à fait impliquer un aspect urgent/exclusif, afin de pousser votre client à franchir le pas. Un discount valable 48 heures, “juste pour lui”...

✅ Un contenu et des CTA chiadés 

🤔 Mais on raconte quoi, dans un mail de relance panier ?

Vous avez votre objet de mail percutant, vous avez créé votre promotion et défini votre timing. What’s next ? Le contenu, pardi ! 

Mettons que votre mail s’adresse à trois catégories de personnes : 

- Ceux qui ont dû quitter votre site en raison d’un problème technique (une infime partie) 

- Ceux qui abandonné leur panier sous prétexte par manque de temps et qui "procrastinent" leur achat

- Ceux qui ont encore besoin de réfléchir 

Essayez donc de créer un message générique pouvant s’appliquer à ces différents cas de figure. 

Pour répondre au sujet du problème technique, nous vous conseillons d’essayer d’insérer une formule d’excuse au début de votre mail. Une phrase type “Oups ! Vous avez visiblement laissé de côté votre panier. Toutes nos excuses si nous avons manqué quelque chose !”. 

Quant à celui du manque de temps, des phrases directes, claires sont recommandées. Oubliez les effets de style hasardeux et privilégiez plutôt une à deux phrases de mise en contexte avec une ou plusieurs photos des articles du panier. 

Pour finir, sortez la carte de l’offre promotionnelle pour convaincre les indécis : livraison offerte, code de bienvenue… Ou indiquez qu’il ne reste qu’une quantité limitée du ou des produits concernés. 

📣 Quelques indications pour vos CTA

Quant aux CTA, la team JUST vous recommande de privilégier les boutons CSS aux liens hypertextes. Les boutons rendront l’action davantage visible et permettent un meilleur taux de conversion : d’après une étude réalisée par Digital Marketer, les mails de relance panier incluant des boutons de CTA sont 22% plus cliqués que ceux comportant un lien basique.

La team JUST espère que cet article vous aidera à créer les mails de relance panier parfaits 💪 Besoin d’un dernier petit conseil ? Avant de vous atteler à vos mails, tentez déjà de réduire vos abandons de paniers en proposant à vos clients une expérience de check-out en 1 clic. On vous en dit un peu plus juste ici. À très vite ! 

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Jan 17

A/B testing : comment le réussir ?

Pourquoi faire de l’A/B testing ? 

En 2022, le taux de conversion moyen des e-commerçants s’élevait à 2,97%. Pas beaucoup, n’est-ce pas ? Cette faible moyenne se justifie par différents facteurs : site web peu agréable et intuitif, mauvaise UX, temps de chargement trop long, formulaires à remplir, avis négatifs… 

Des problématiques que les e-commerçants cherchent à corriger, éradiquer. Pour y arriver, ces derniers peuvent utiliser de nombreuses méthodologies. Dont l’A/B testing. Késako ? Il s’agit d’une discipline où on utilise la data afin de se guider et de prendre les meilleures décisions concernant le design d’un contenu. On vous en dit plus dans quelques instants ! 

A/B testing : définition

L’A/B testing est une des façons les plus efficaces pour optimiser votre site, vos produits ou même votre service. Grosso modo, il s’agit de faire tester deux versions (la “A” et la “B”) d’un même contenu (page web, e-mail, interface d’une application mobile…) auprès de deux groupes de personnes de taille semblable. Dans cet article, nous nous concentrerons sur l’A/B testing de pages web.

Avant de lancer votre A/B testing, posez-vous un instant et réfléchissez à vos objectifs. Voulez vous augmenter votre nombre de visites, votre taux de conversion, votre taux de clic ? C’est ça qui vous guidera dans l’élaboration de votre campagne de test. 

A/B testing : illustration

5 astuces pour réussir son A/B testing

1. Concentrer l’A/B testing sur des pages qui génèrent déjà du trafic 

Si vous décidez de lancer une campagne d’A/B testing, assurez-vous de choisir une page qui a du potentiel. Inutile de concentrer vos efforts sur une page peu consultée (la FAQ, par exemple), testez plutôt sur celle qui génère déjà le plus de trafic et qui risque d’être la plus sollicitée par vos utilisateurs (une page produit, une homepage, un menu…). 

Comme l’expliqueJohan Petit, responsable du pôle produit de Bewizyu, les pages “intéressantes” pour de l’A/B testing sont celles générant au minimum 10, 000 visiteurs mensuels ainsi que 300 conversions. C’est dans ce cas que les résultats de votre campagne auront le plus d’impact ! 

Nous évoquions ci-dessus les objectifs de l’A/B test : ce dernier doit vous apporter une réponse à un problème précis. Un taux de conversion trop bas ? Un taux d’abandon de panier trop élevé ? Une fois les résultats collectés, vous pourrez mettre en place LA solution que l’A/B test vous aura aidé à trouver !

2. Tester une seule variable à la fois 

Comme nous le mentionnions précédemment, l’A/B testing consiste à tester deux versions d’un contenu. Ces dernières sont plus ou moins différentes et permettent d’évaluer un élément bien précis ou alors une page dans son ensemble. 

Si vous cherchez spécifiquement à optimiser votre CTA, un bouton, une fiche produit, le tout dans le même A/B testing, il sera difficile de juger ce qui a marché ou non au cas par cas (est-ce le CTA qui a encouragé le visiteur à passer l’achat ? Le descriptif de la page produit ?). 

Ces 3 éléments combinés devront être envisagés comme un tout. 

3. Combien de personnes pour un A/B test ? 

Pour qu’un A/B test soit véritablement significatif, il doit être effectué par un nombre important de participants. 

Il est donc important de bien déterminer votre échantillon de test. Mais d’ailleurs, comment on s’y prend exactement? Par mail, à une liste de préférence bien longue (soyons réalistes : un faible pourcentage de vos destinataires y répondront donc on double ses chances), ou alors on fait de la publicité sur les réseaux sociaux. On apprécie tout spécialement cette dernière option dans la mesure où il très facile de cibler un type de buyer persona, sans forcément avoir une donnée CRM bien fournie. 

Il existe aussi une grande variété d’organismes qui proposent de diffuser vos A/B test (Contentsquare, par exemple). Une solution pratique, même si pas forcément des plus économiques…. 

4. Combien de temps pour un A/B test ?

Tic, tac, tic, tac… Il s’agit maintenant de s’armer de patience ! Selon les outils spécialisés du marché, il est recommandé de faire durer un A/B test de 7 jours à 3 semaines. 

Il n’y a cependant pas de règle tacite : il faut simplement garder en tête que l’A/B test doit durer suffisamment longtemps pour vous permettre de récolter des données pertinentes. Un A/B test est jugé fiable lorsqu’il atteint un seuil de confiance de 95%.

Autrement, si après 7 jours consécutifs vos résultats se stabilisent (pas de taux de variation), il est alors envisageable de stopper l’A/B test. 

5. Utiliser le “Mouse tracking” et les “Heat maps” lors de votre analyse

Si vous suivez nos quatre premiers conseils pour lancer votre A/B test, c’est déjà un bon début ! Mais une fois lancé et la data collectée, comment on s’y prend pour l’analyser ? 

Il existe bien sûr la magie des chiffres : les statistiques parleront d’elles-mêmes. Tel pourcentage aura cliqué sur ce CTA tandis qu’un autre l’aura tout bonnement ignoré, etc. 

D’autres outils existent cependant pour traquer l’activité des utilisateurs sur votre site et aller plus loin que la simple analyse de chiffres.

Le “mouse tracking”, vous connaissez ? Il s’agit de traquer le mouvement de souris de l’utilisateur de votre site. Voir où il s’attarde, hésite, clique, où se trouvent les frictions… Ces mouvements vous permettront de créer une heat map (littéralement “carte de chaleur”) qui vous permettra de voir quels sont les portions les plus sollicitées de votre page.

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Meilleurs CMS e-commerce : comment choisir ?

Vous avez enfin décidé de commercialiser votre ligne de produits ou votre service ? Pour votre marque de lipgloss eco-friendly ou votre Saas, il s’agirait maintenant de choisir votre CMS e-commerce… À chacun son talent : vous n’êtes peut-être pas webdesigner ou très à l’aise avec le digital. Et il n’y aucun problème à cela ! La team JUST vous en révèle un peu plus sur les meilleurs supports de vente pour e-commerce. 

CMS : définition

Derrière cette mystérieuse expression se cache en fait quelque chose de très simple : CMS signifie en anglais Content Management System. Mais encore ? En français, il s’agit grosso modo d’un système de gestion de contenu. On vous en dit un peu plus… 

Un CMS se définit également comme un type de plateforme contenant ces 3 critères :   

- Il donne la possibilité à son ou ses administrateurs de publier du contenu 

- Il permet de gérer à la fois la forme (le design) et le contenu du site (ce que vous allez mettre dessus : des produits, des descriptions, des articles de blog…) 

- Il peut-être géré et utilisé par plusieurs administrateurs 

En un mot, il s’agit de la partie “cachée” d’un site web, de ce que voient les gens qui en sont chargés !

Il en existe 3 sortes : les Saas (pour faire simple, on fournit à l'utilisateur un logiciel situé dans le cloud), les Open Source (l'utilisateur peut modifier le code) et finalement les "propriétaires" (un CMS construit de A à Z par un tiers).

Les 3 type de CMS
Les 3 types de CMS (source : Delante)

CMS e-commerce : quelle est la spécificité ?  

Pour faire simple, un CMS e-commerce est le support qui va être utilisé par le marchand pour vendre. Les CMS e-commerce sont une solution clé en main pour les vendeurs : ils peuvent ainsi gérer leur site de vente en ligne et sont autonomes sur la partie ajout, modification ou suppression de contenu, sans avoir à coder. 

Mais comment donc le choisir ? On a interrogé les centaines de marques avec lesquelles nous travaillons pour savoir quels étaient leurs préférés. Certains ont fait l’unanimité, d’autres sont plus contestés… Avant de prendre votre décision, posez-vous et demandez-vous quels sont les critères que vous recherchez dans la future gestion de votre site web. Mais oui, d’ailleurs, qu’est-ce qui fait qu’un CMS est bon et pratique ? 🤔

Choisir un bon CMS : les critères à prendre en compte 

La solution idéale pour choisir sa solution doit prendre en compte plusieurs critères : 

- La réputation et notoriété du logiciel 

- La facilité de compréhension de l’outil et son ergonomie (est-il pratique à manipuler pour quelqu’un qui n’y connaît pas forcément grand-chose ?) 

- Un tableau de bord d’analyse avec une bonne vision de la data afin de suivre vos ventes et la performance de votre site 

- De bons outils de webdesign afin que vous puissiez créer le site qui ressemble à votre marque et que cette dernière ne tombe pas aux oubliettes

- La possibilité de pouvoir fusionner certains de vos outils tels que celui de votre gestion de stocks, vos données marketing (CRM), votre marketplace et pourquoi pas vos réseaux sociaux si le social shopping vous tente. 

- Un aspect SEO. Sur Google, la compétition pour apparaître dans les premières pages de recherche est compliquée, voire parfois difficile… Assurez-vous que l’heureux élu vous laisse la possibilité de modifier vos urls, méta balises et méta descriptions. Et que la partie blog vous permettra de mettre toutes les chances de votre côté pour attirer l’œil du Search Engine.

Les meilleurs CMS e-commerce 

Shopify

Le grand classique des CMS pour les e-commerçants ! Zoom sur la plateforme canadienne qui a su en convaincre plus d’un (800 000 utilisateurs en 2019 !).

Parmi les nombreux avantages du CMS e-commerce, on retrouve l’aspect ergonomique. Du petit business au commerce ultra établi, la plateforme est décrite comme relativement facile d’usage. Shopify propose une fonction “drag and drop”, qui permet de construire facilement son site, sans avoir besoin de coder. Le CMS propose aussi des templates gratuits et customisables, ce qui donne la possibilité de lancer son site très rapidement. 

L’un des autres avantages de la plateforme réside aussi dans le fait qu’il est possible de proposer une multitude de moyens de paiement aux utilisateurs, y compris ceux de tiers. Comme Shopify n’est pas magique (la plateforme propose déjà une myriades de fonctionnalités), il est aussi possible d’ajouter près 1200 applications et plug-ins afin d’exploiter votre site e-commerce au maximum. 

Dans les éventuels aspects négatifs, certains de nos e-commerçants se plaignent du pricing (29$, 79$ ou 299$) en sachant que l’option la plus économique est très limitée. Un autre point : si Shopify est une plateforme qui permet de nombreuses choses, les aspects SEO et marketing peuvent être mis de côté. Certains se plaignent des restrictions de la feature blog, qui ne permettrait pas de créer des catégories. Il en va de même pour les templates : la sélection offerte est apparemment assez restreinte. 

Adobe Commerce (ex Magento)

Un CMS e-commerce qu’on ne présente plus ! On vous en dit un peu plus sur les avantages de la plateforme et ses éventuels points négatifs. C’est parti ? 

L’un des points les plus importants sur Adobe Commerce réside dans le fait que ce soit une plateforme open source. Késako ? Cela la rend flexible dans la mesure où il est possible de modifier le code source. À vous le template ultra personnalisé et l’installation de toutes les fonctionnalités nécessaires au développement de votre site ! 

La plateforme est également tout spécialement appréciée pour ses fonctionnalités très spécifiques que d’autres ne proposent pas forcément : par exemple, vous pouvez segmenter vos prix en fonction de différents groupes. Pour vos employés, vos clients VIP ou autres : vous pouvez proposer un prix différent. 

Le dernier point particulièrement appréciable est l’aspect mobile friendly. En effet, Adobe Commerce est considéré comme le CMS le plus facile à décliner en version mobile. Et le plus agréable pour vos utilisateurs ! 

Pour conclure, il est important de préciser qu’il sera compliqué pour vous de construire votre site avec Adobe Commerce si vous n’avez aucune notion de développeur web. L’aspect open source signifie que vous devez coder, donc vous faire accompagner si vous n’êtes pas en capacité de le faire. Le prix, élevé, comme celui de Shopify, est aussi souvent critiqué par ses utilisateurs. 

Interface Adobe Commerce
Interface Adobe Commerce

Prestashop

 

Prestashop est également une plateforme open source. On l’apprécie pour son installation relativement facile et son pricing ultra attractif (de 4$ à 14$ par mois !). 

Un autre avantage de ce CMS e-commerce est le fait qu’il y soit possible d’installer près de 2,500 plugins qui assureront le bon fonctionnement et la performance du site. 

Cependant, LA chose intéressante à retenir sur Prestashop est son aspect paiement sécurisé : ils utilisent des solutions de check-out comme Google Pay et Paypal. 

En un mot, Prestashop est intéressant pour son prix, ses plug-ins, et la possibilité d’offrir à vos clients une myriade d’options de paiements sécurisés. 

Si on passe aux choses qui peuvent peut-être vous déranger, le fait que la plateforme soit open source peut en gêner certains : même s’il n’est pas affreusement compliqué de créer son site, la participation d’une personne à l’aise avec la technologie et le code peut être nécessaire. Aussi, vous ne trouverez pas de service client à proprement parler avec ce CMS : il s’agit plus de la communauté qui s’entraide et se guide sur les pages de support.

WooCommerce

Si vous cherchez à monter votre site e-commerce en quelques jours, WooCommerce pourrait être la solution ! Shopify et Adobe Commerce sont souvent considérés comme LES références lorsqu’on en vient aux CMS. Cependant, le plug-in de WordPress a su en convaincre plus d’un : en 2019, ce sont près de 3.3 millions de sites web qui ont été créés avec WooCommerce (source : BuiltWith). Pourquoi donc choisir ce plug-in et pas un autre ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? On vous dit tout ! 

WooCommerce se différencie de ses compétiteurs par deux aspects : l’open source et la gratuité. Comme mentionné précédemment, l’open source permet donc à n’importe qui de modifier le code du logiciel afin de personnaliser le site. De plus, l’utilisation de la plateforme la plus basique est gratuite. Pas mal pour se lancer, donc  !  

Un autre des avantages sur WooCommerce réside dans le fait que la plateforme sera très intuitive pour ceux ayant l’habitude de manier WordPress : ils reconnaîtront l’interface très similaire. 

Comme tous les CMS open source, WooCommerce est complètement personnalisable : du footer jusqu’aux fiches produits, en passant par l’étape check-out : faites ressembler votre site à votre marque ! 

Cependant, un e-commerçant choisissant WooCommerce pourra potentialiser à 100% sa boutique en ligne en ajoutant des plug-ins. Il en existe des centaines ! Et qui dit plug-ins sur plug-ins dit malheureusement souvent ralentissement du chargement et de la performance de votre CMS. Pourquoi ? Car ces derniers prennent beaucoup de souvenirs, tout simplement.

Ajouter des articles avec WooCommerce
Ajouter des articles avec WooCommerce

Big Commerce 

Comme sur la majorité des CMS cités ci-dessus, le plan standard de Big Commerce reste très accessible ($29,95 par mois). Cependant, à garder en tête qu’à un certain niveau, la plateforme appliquerait des tarifs spéciaux : les e-shop générant plus de 3000 de commandes par an seraient facturés entre $900 et $1500 mensuels ! 

Au-delà de l’aspect pricing, Big Commerce présente les avantages classiques des CMS :

- De bons outils de management, des produits jusqu’au reporting

- Des modules marketing avec l’intégration de mots-clés (on n’oublie pas le SEO !), la création de coupons discounts etc

- Une comptabilité avec de nombreux outils tels que MailChimp ou encore QuickBooks 

- Un service client ultra réactif et joignable (presque) à toute heure 

Mention spéciale aux 14 jours d’essai gratuit et au fait que le nombre d’administrateurs ne soit pas limité ! 

Cependant, il est important de noter que Big Commerce n’est pas open source. Difficile, donc, de customiser son site ou de pouvoir profiter des templates les plus cool sans avoir à sortir son portefeuille.

Commerce Cloud

Commerce Cloud, CMS développé par Salesforce (mais si vous savez ! Le big leader du CRM) semble encore être un peu sur la touche : bénéficiant de moins de notoriété que ses compères, il est plus compliqué de trouver des avis détaillés sur le CMS. 

Cependant, ses utilisateurs lui attribuent la note honorable de 8.3/10 sur TrustRadius (celle de Shopify, par exemple, s’élevant à 8.8/10). Ce qui est apprécié dans le logiciel ? 

Le dashboard apparemment très clair montrant la data essentielle concernant votre e-commerce : 

- L’historique des acheteurs 

- Le statut des commandes 

- Les éventuels problèmes rencontrés par vos clients

- Des notes et des informations sur vos clients (exemple : untel a interagit avec le service client à telle date)

On y retrouve également plus de 4,000 app compatibles afin de propulser votre CMS on top !

Si on évoque les potentiels points négatifs, Commerce Cloud n’est pas open source. Pratique donc, pour ceux ne sachant pas coder, mais difficile à nouveau de créer un site 100% fidèle à son univers de marque… 

Volusion

Un CMS qui ne vous dit peut-être pas grand-chose mais qui est pourtant l’un des plus anciens de l’histoire du e-commerce ! Pour Volusion, l’aventure commence en 1999 et depuis, c’est près de 30,000 boutiques en ligne que le logiciel fait tourner. 

La team JUST recommande ce CMS aux petites boutiques en ligne ayant un nombre de produits bien limité. En effet, le “mini plan”, gratuit, permet de vendre en ligne près de 100 produits différents. 

Comme pour toutes ses autres formules, ce plan comprend un check-out sécurisé et ne prend pas de commission sur les transactions (contrairement à Shopify, entre autres !). 

Un autre point spécialement appréciable chez Volusion est ses outils d’optimisation SEO, non présents sur tous les CMS. 

À noter : il faudra sortir le porte-feuille pour avoir accès à certaines features type suivi des commandes. 

Construction d'un site e-commerce avec Volusion
Construction d'un site e-commerce avec Volusion

Ecwid 

Avant de rentrer dans les points forts et points faibles d’Ecwid, il est important de relever le fait que contrairement à ses compétiteurs, le CMS ne permet pas de construire un site web de A à Z. Il s’agirait plutôt d’un widget permettant de vendre vos produits sur un site ou une présence en ligne déjà établie. 

Grosso modo, Ecwid vous permet d’ajouter votre catalogue de produits à votre site : photos, prix, etc…

En termes de pricing, Ecwid demeure gratuit si vous commercialisez moins de 10 produits : autant vous dire qu’il faudra débourser un peu d’argent ($35 pour aller jusqu’à 2,500 produits). 

Comme les CMS cités précédemment, l’outil vous permet donc d’ajouter les moyens de paiement de votre choix (près de 86 sont compatibles). Vous retrouverez également toutes les fonctionnalités basiques d’un CMS sur Ecwid (ajout de produits, suivi des ventes…). Bon à savoir : votre site peut être traduit dans près de 53 langues différentes avec le widget ! 

Aujourd’hui, ce sont près de 900 000 e-shops qui utiliseraient le logiciel. Bonne nouvelle : si vous choisissez donc Ecwid, vous pouvez être quasiment certain que le CMS ne disparaîtra pas du jour au lendemain (la crise touche malheureusement aussi les Saas 😉). 

SquareSpace

Avant de présenter l'avant-dernier CMS e-commerce de notre top, saviez-vous que Zendaya fut un temps égérie des publicités de l’outil ? Qui a dit que les Saas n’étaient pas stylés ?

Tout ça pour vous dire que SquareSpace ne néglige pas son image et son aspect “cool”. Cela se fait ressentir sur l’outil : l’interface est spécialement agréable, “propre” et intuitive  pour l’utilisateur. Un point à ne pas négliger !  

Avant tout pensée pour les créatifs, la plateforme gagne aujourd’hui de plus en plus de terrain pour tous les types d’e-commerce et offre toutes les fonctionnalités classiques d’un CMS (vente de produits, suivi des commandes etc..). 

N’étant pas open source, SquareSpace propose donc des templates ajustables à ses clients. Bon à savoir : ces derniers sont censés être les plus jolis et premium du marché. De même pour la partie blog : étant à la base destinée aux créatifs, la plateforme laisse donc beaucoup de flexibilité aux utilisateurs pour tout ce qui relève de la création de contenus. 

Pour finir, parlons bien, parlons pricing :  la version basique e-shop de SquareSpace coûte $24 mensuels. Besoin d’une bonne nouvelle ? Le CMS ne facture pas à la transaction !

VTEX 

VTEX fait clairement partie des pionniers des CMS. Fondée en 1999 par deux ingénieurs brésiliens, la solution est aujourd’hui utilisée par des géants tels que Walmart. 

Le CMS propose toutes les fonctionnalités classiques et semble spécialement apprécié est le côté omnichannel et l’interface simple et facile d’usage. Avec VTEX, il est aussi possible d’aller très loin pour vos clients : personnaliser une promotion, l’appliquer seulement à certains… La plateforme sait aussi se renouveler et propose très régulièrement de nouvelles fonctionnalités. 

Cependant, attention : VTEX a été pensée pour les grandes marques dont il se peut que vous ayez besoin d’aide si vous n’avez pas déjà un département tech dans votre entreprise. Le pricing est aussi reproché à la plateforme : à partir de $250, tout de même !

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